LA METHODE SCIENTIFIQUE DE SHETTLES
méthode pour choisir le sexe de soenfant
Un médecin Shettles développa une méthode scientifique de choix pré-conceptionnel du sexe des enfants à partir d’observations sur les spermatozoïdes.
Il observa donc que :
1-que les spermatozoïdes Y (garçon) était rapide mais fragile et d'une
durée de vie éphémère
2-qu'à l'inverse les spermatozoïdes X (filles) étaient plus lents mais d'une durée de vie plus longue (48 à 72 heures)
3- que le PH vaginal jouait aussi un rôle : plus acide = fille, plus alcalin = garçon
4- il faut savoir qu'un ovule ne vit que 24 à 48 heures et que les règles surviennent 13 jours après. Seule la partie du cycle précédant l'ovulation a une durée variable suivant les femmes. de ces faits, on peut favoriser l'un ou l'autre sexe de la façon suivante :
POUR FAIRE DES G A R C O N S
1) Abstinence sexuelle complète à partir des règles jusqu'au jour de l'ovulation, ou au moins 7 jours avant, pour améliorer la qualité et la concentration du sperme en
spermatozoïdes.
2) Rapport sexuel au moment de l'ovulation (intérêt de la courbe thermique* si
les cycles ne sont réguliers).
3) Douche vaginale alcaline avant le rapport : 2 cuillères à soupe de
bicarbonate de soude dans 1 litre d'eau.
4) Orgasme de la femme soit simultané soit précédant celui de l'homme.
5) Pénétration vaginale par l'arrière pour favoriser le dépôt du sperme au
contact du col de l'utérus.
6) Pénétration pénienne profonde au moment de l'orgasme.
POUR FAIRE DES F I L L E S
1) Activité sexuelle normale jusqu'à deux ou trois jours avant l'ovulation.
2) Interruption des rapports deux ou trois jours avant l'ovulation.
3) Douche vaginale acide : 2 cuillères à soupe de vinaigre d'alcool dans 1
litre d'eau.
4) Pas d'orgasme chez la femme.
5) Position de pénétration classique.
6) Pénétration pénienne peu profonde au moment de l'orgasme.
Pour déterminer les dates les plus favorables des rapports (faire le programme
et éventuellement 2 graphiques) :
pour les garçons :
prendre la date des dernières règles (DDR), y ajouter la durée du cycle et
retrancher 14 jours
pas de rapport entre la DDR et ce jour-là
pour les filles :
rapports permis de la DDR jusqu'au jour J déterminé de la façon suivante :
J= DDR + durée du cycle -17 (voire 16 mais c'est moins sûr)
suivi d'une abstinence sexuelle d'au moins 10 jours
*la courbe thermique :
cette méthode consiste à prendre sa température (pour les femmes !!!) le matin
au réveil avant le lever.
au moment de l'ovulation se produit un décalage thermique de +3 ou 4/10
persistant jusqu'aux règles (ou jusqu'à l'accouchement), un rapport le jour du
décalage favorise les garçons. Les rapports 3 jours après ce décalage sont en
principe sans risque de grossesse.
le problème c'est que la moindre infection (un simple rhume par exemple) a le
même effet sur la courbe, c'est pourquoi cette méthode contraceptive en vogue
avant la pilule est à l'origine de très jolis bébés ;-)
Voilà, c’était ma page scientifique du jour…
Ah, j’oubliais : le résultat de l’échographie est tombé. Loïc et Cécile vont être les heureux parents d’une fille !
Source : http://www.stethonet.org/trucs/trucs.php?cat3=21
samedi 23 avril 2011
JOYEUSE PAQUES
DIMANCHE DE PAQUES
24 avril 2011
EVANGILE (Jn 20, 1-9)
Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin, alors qu’il fait encore sombre. Elle voit que la pierre a été enlevée du tombeau. Elle court donc trouver Simon-Pierre et l’autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l’a mis. » Pierre partit donc avec l’autre disciple pour se rendre au tombeau. Ils couraient tous les deux ensemble, mais l’autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. En se penchant, il voit que le linceul est resté là ; cependant il n’entre pas. Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau, et il regarde le linceul resté là, et le linge qui avait recouvert la tête, non pas posé avec le linceul, mais roulé à part à sa place. C’est alors qu’entra l’autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut. Jusque-là, en effet, les disciples n’avaient pas vu que, d’après l’Écriture, il fallait que Jésus ressuscite d’entre les morts.
ALLONS DE L’AVANT DANS L’ESPERANCE !
Commentaire de JEAN PAUL II
Comme lors du Vendredi saint et du Samedi saint, l'Église ne cesse de demeurer dans la contemplation de ce visage ensanglanté, dans lequel est cachée la vie de Dieu et est offert le salut du monde. Mais sa contemplation du visage du Christ ne peut s'arrêter à son image de Crucifié. Il est le Ressuscité ! S'il n'en était pas ainsi, notre prédication serait vaine et vaine notre foi (cf. 1Co 15, 14). La résurrection fut la réponse du Père à son obéissance, comme le rappelle la Lettre aux Hébreux : Pendant les jours de sa vie mortelle, il a présenté, avec un grand cri et dans les larmes, sa prière et sa supplication à Dieu qui pouvait le sauver de la mort ; et, parce qu'il s'est soumis en tout, il a été exaucé. Bien qu'il soit le Fils, il a pourtant appris l'obéissance par les souffrances de sa Passion ; et, ainsi conduit à sa perfection, il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent la cause du salut éternel.
C'est vers le Christ ressuscité que désormais l'Église a les yeux fixés. Elle le fait en suivant les traces de Pierre, qui versa des larmes après son reniement, et reprit son chemin en manifestant son amour au Christ, avec une appréhension compréhensible : Tu sais bien que je t'aime ! Elle marche en compagnie de Paul, qui fit la rencontre foudroyante du Christ sur le chemin de Damas : Pour moi, vivre c'est le Christ, et mourir est un avantage.
Deux mille ans après ces événements, l'Église les revit comme s'ils venaient de se produire aujourd'hui. Dans le visage du Christ, elle, l'Épouse, contemple son trésor, sa joie. Dulcis Iesu memoria, dans vera cordis gaudia : qu'il est doux le souvenir de Jésus, source de la vraie joie du cœur ! Réconfortée par cette expérience, l'Église reprend aujourd'hui son chemin, pour annoncer le Christ au monde, au début du troisième millénaire : Jésus Christ est le même hier et aujourd'hui, il le sera à jamais (He 13, 8). […] Allons de l'avant dans l'espérance ! Un nouveau millénaire s'ouvre devant l'Église comme un vaste océan dans lequel s'aventurer, comptant sur le soutien du Christ.
PRIERE
Prions avec Jean Paul II :
Nous crions notre foi vers Toi, Croix de notre salut !
Seigneur, un rayon de lumière s'échappe de ta Croix. Par ta mort, notre mort est vaincue et l'espérance de la résurrection nous est offerte. Attachés à ta Croix, nous restons dans une attente confiante de ton retour, Seigneur Jésus, notre Rédempteur !
Nous acclamons ta mort, Seigneur, nous proclamons ta résurrection, dans l'attente de ta venue. Amen !
Toute l'équipe du sanctuaire
vous souhaite de très bonnes fêtes de Pâques, dans la joie du Ressucité
24 avril 2011
EVANGILE (Jn 20, 1-9)
Le premier jour de la semaine, Marie Madeleine se rend au tombeau de grand matin, alors qu’il fait encore sombre. Elle voit que la pierre a été enlevée du tombeau. Elle court donc trouver Simon-Pierre et l’autre disciple, celui que Jésus aimait, et elle leur dit : « On a enlevé le Seigneur de son tombeau, et nous ne savons pas où on l’a mis. » Pierre partit donc avec l’autre disciple pour se rendre au tombeau. Ils couraient tous les deux ensemble, mais l’autre disciple courut plus vite que Pierre et arriva le premier au tombeau. En se penchant, il voit que le linceul est resté là ; cependant il n’entre pas. Simon-Pierre, qui le suivait, arrive à son tour. Il entre dans le tombeau, et il regarde le linceul resté là, et le linge qui avait recouvert la tête, non pas posé avec le linceul, mais roulé à part à sa place. C’est alors qu’entra l’autre disciple, lui qui était arrivé le premier au tombeau. Il vit, et il crut. Jusque-là, en effet, les disciples n’avaient pas vu que, d’après l’Écriture, il fallait que Jésus ressuscite d’entre les morts.
ALLONS DE L’AVANT DANS L’ESPERANCE !
Commentaire de JEAN PAUL II
Comme lors du Vendredi saint et du Samedi saint, l'Église ne cesse de demeurer dans la contemplation de ce visage ensanglanté, dans lequel est cachée la vie de Dieu et est offert le salut du monde. Mais sa contemplation du visage du Christ ne peut s'arrêter à son image de Crucifié. Il est le Ressuscité ! S'il n'en était pas ainsi, notre prédication serait vaine et vaine notre foi (cf. 1Co 15, 14). La résurrection fut la réponse du Père à son obéissance, comme le rappelle la Lettre aux Hébreux : Pendant les jours de sa vie mortelle, il a présenté, avec un grand cri et dans les larmes, sa prière et sa supplication à Dieu qui pouvait le sauver de la mort ; et, parce qu'il s'est soumis en tout, il a été exaucé. Bien qu'il soit le Fils, il a pourtant appris l'obéissance par les souffrances de sa Passion ; et, ainsi conduit à sa perfection, il est devenu pour tous ceux qui lui obéissent la cause du salut éternel.
C'est vers le Christ ressuscité que désormais l'Église a les yeux fixés. Elle le fait en suivant les traces de Pierre, qui versa des larmes après son reniement, et reprit son chemin en manifestant son amour au Christ, avec une appréhension compréhensible : Tu sais bien que je t'aime ! Elle marche en compagnie de Paul, qui fit la rencontre foudroyante du Christ sur le chemin de Damas : Pour moi, vivre c'est le Christ, et mourir est un avantage.
Deux mille ans après ces événements, l'Église les revit comme s'ils venaient de se produire aujourd'hui. Dans le visage du Christ, elle, l'Épouse, contemple son trésor, sa joie. Dulcis Iesu memoria, dans vera cordis gaudia : qu'il est doux le souvenir de Jésus, source de la vraie joie du cœur ! Réconfortée par cette expérience, l'Église reprend aujourd'hui son chemin, pour annoncer le Christ au monde, au début du troisième millénaire : Jésus Christ est le même hier et aujourd'hui, il le sera à jamais (He 13, 8). […] Allons de l'avant dans l'espérance ! Un nouveau millénaire s'ouvre devant l'Église comme un vaste océan dans lequel s'aventurer, comptant sur le soutien du Christ.
PRIERE
Prions avec Jean Paul II :
Nous crions notre foi vers Toi, Croix de notre salut !
Seigneur, un rayon de lumière s'échappe de ta Croix. Par ta mort, notre mort est vaincue et l'espérance de la résurrection nous est offerte. Attachés à ta Croix, nous restons dans une attente confiante de ton retour, Seigneur Jésus, notre Rédempteur !
Nous acclamons ta mort, Seigneur, nous proclamons ta résurrection, dans l'attente de ta venue. Amen !
Toute l'équipe du sanctuaire
vous souhaite de très bonnes fêtes de Pâques, dans la joie du Ressucité
jeudi 21 avril 2011
L'humanité pleure !
L'humanité pleure !
Lorsqu’on consulte l’histoire de l’humanité, l’on se rend à l’évidence que la prostitution est le métier le plus vieux du monde. En effet, dans notre illustre Bible, il est permis de constater l’existence de certaines femmes qui ont eu plusieurs partenaires sexuels. En Afrique, jadis, ce phénomène existait et s’est généralisé surtout avec l’avènement colonial. La prostitution, quant à elle-même, vient du latin prostituere et signifie déshonorer. Elle est alors le fait de livrer son corps aux plaisirs sexuels d’autrui pour de l’argent et d’en faire un métier. Le vagabondage sexuel n’est rien d’autre que le fait d’aller d’un partenaire sexuel à un autre sans un but fixe.
La pauvreté en ce qui concerne certains parents amène les enfants à s’adonner au vagabondage sexuel pour subvenir à leurs besoins quotidiens. Aussi, s'adonnent à ce vilain jeu certaines mères de famille, qui par manque de moyens surtout financiers. Certaines personnes, par l’oisiveté, paresse, recherche de gain facile, se livrent impudiquement à la prostitution. D’autres trop ambitieux, ne voulant pas accepter leur statut social s’y donnent également. Le pire est que les élèves et étudiants ne sont nullement pas épargnés.
La colonisation quant à elle a d'abord entraîné la négation de nos mœurs et cultures. Ceci a donc abouti inexorablement à la dégradation et le développement de ce fléau. De plus l’importation de la civilisation étrangère n’a fait qu’aggraver la situation déjà précaire.
Certains films et émissions à la radio, la télévision ; sans oublier les articles de la presse écrite, excitent les jeunes à cette dangereuse pratique. En effet, par les œuvres pornographiques, les jeunes se laissent facilement à l’imitation. Or l’imitation a quelque de désagréable que celui qui imite, y ajoute toujours du sien. Ce qui représente un échelon à l’évolution de cette gangrène sociale.
Je ne pourrais terminer sans relater que : Les problèmes du système éducatif scolaire et universitaire font séparer beaucoup de jeunes adolescents de leur cercle familial. Ces derniers, dès qu’ils se retrouvent seuls, ne pouvant s’adapter à ce nouveau mode de vie, à cette nouvelle liberté, mènent alors une vie de débauche et battent la calabre. Nous ne restons pas sans savoir que la mauvaise compagnie est une des grandes causes déterminantes de ce vice lugubre. Il en est de même de certaines personnes, qui, par simple envie, désir, loisir, se permettent ce vilain défaut. C’est ainsi que certains enfants, bien même que leurs parents soient aisés ne se font pas exclu du lot. De même, certains pères autant que des mères de famille, qui, par simple volonté et par manque de responsabilité, se donnent le luxe d’avoir d’autres partenaires sexuels en dehors du foyer conjugal.
Ceux là, malgré tout ce qui se dit sur la sexualité, la bonne conduite sexuelle par les médias et autres centres d’éducation, s’exposent délibérément. Et le mal est que un de ses jours, ils prendront le ticket pour une chambre au Pk14. En effet, ces individus s’exposent au mal du siècle, à ce mal, qui ne connaît personne, qui ruine ronge et tue à petit feu. Ce mal terrible tel la peste il y a quelques décennies, ravageant et dévorant comme un feu en furie et n’ayant aucunement pitié. Ce mal qui est indomptable et indompté, n’est rien d’autre que, le SIDA. C’est le premier mal qui devrait nous mettre en garde. Qui devrait nous amener à prendre conscience. Mais Hélas…
Avec le VIH s’accompagnent les MST. C’est ainsi que les gens perdent leur sexe pour devenir à jamais stériles, suite aux maladies telles que la syphilis, la gonococcie et j’en passe. Ces maux sont capables de tuer obstinément patiemment et sans pitié. Nous devrons avoir donc une grande peur, une peur terrible.
Et si ce n'était que ceux là, cela aurait été favorable. Nous pourrons aussi citer le cancer de l'utérus chez la femme, celui de la prostate chez l'homme. Ces cancers sont impitoyables et garantissent toujours la mort surtout en Afrique par manque de moyens.
C'est ainsi que beaucoup de victimes emplois, femme, enfants et foyer. Tout individu qui se prostitue ou qui vagabonde devient la risée de la population. Ils sont incapables d'avoir un foyer stable. Ce qui entraîne un grand déséquilibre en ce qui concerne l'éducation des enfants. La progéniture par manque de bonne éducation se donne d'avantage au fléau et le cycle recommence. De là, la société devient malade. De part la société, l'Etat devient malade. Et cette gangrène s'étend à l'échelle mondiale pour devenir enfin un mal planétaire.
Ces différents maux miment nombres de gens qui se lancent dans cette fameuse périlleuse et catastrophante aventure. L'humanité est donc malade.
Comme nous le savons, le remède à tout vice est d'abord et avant tout la volonté qui est l'essence de toute vie et de toute chose. Ces quelques approches de solutions qui vont suivre ne peuvent être considérer comme une panacée. Je ne saurais rien donner comme solution sans parler de nos parents et de nos aînés. Ce n'est q'eux et par eux que tout peut se faire. Ils doivent essayer de comprendre les enfants et les jeunes en particulier, de devenir leurs amis de manière à connaître toutes leur fréquentations et pouvoir les guider le mieux possible. C'est à eux qu'incombe la lourde tâche. Ils doivent chercher à renforcer leur éducation sexuelle et à tout prix éviter les ultimatums et dans la mesure du possible éviter les embargos.
Quant à nous autres jeunes, nous devrons être sincères, éviter la fréquentation des œuvres pornographiques ou tout autre chose capable de vite éveiller notre vie et instinct sexuel. Nous devrons essayer le plus que possible de respecter les codes moraux de nos civilisations ou plus simplement ceux de nos religions ou juridiction. Dans le pire des cas se préserver ou tout moins s’abstenir tout en laissant le temps au temps et ne pas mettre la charrue avant les bœufs.
Mêmêgnon AWOHOUEDJI
02 B.P. 125 Parakou (R. Bénin)
E-Mail : memegnon@rediffmail.com
Cell : +22990912829
Lorsqu’on consulte l’histoire de l’humanité, l’on se rend à l’évidence que la prostitution est le métier le plus vieux du monde. En effet, dans notre illustre Bible, il est permis de constater l’existence de certaines femmes qui ont eu plusieurs partenaires sexuels. En Afrique, jadis, ce phénomène existait et s’est généralisé surtout avec l’avènement colonial. La prostitution, quant à elle-même, vient du latin prostituere et signifie déshonorer. Elle est alors le fait de livrer son corps aux plaisirs sexuels d’autrui pour de l’argent et d’en faire un métier. Le vagabondage sexuel n’est rien d’autre que le fait d’aller d’un partenaire sexuel à un autre sans un but fixe.
La pauvreté en ce qui concerne certains parents amène les enfants à s’adonner au vagabondage sexuel pour subvenir à leurs besoins quotidiens. Aussi, s'adonnent à ce vilain jeu certaines mères de famille, qui par manque de moyens surtout financiers. Certaines personnes, par l’oisiveté, paresse, recherche de gain facile, se livrent impudiquement à la prostitution. D’autres trop ambitieux, ne voulant pas accepter leur statut social s’y donnent également. Le pire est que les élèves et étudiants ne sont nullement pas épargnés.
La colonisation quant à elle a d'abord entraîné la négation de nos mœurs et cultures. Ceci a donc abouti inexorablement à la dégradation et le développement de ce fléau. De plus l’importation de la civilisation étrangère n’a fait qu’aggraver la situation déjà précaire.
Certains films et émissions à la radio, la télévision ; sans oublier les articles de la presse écrite, excitent les jeunes à cette dangereuse pratique. En effet, par les œuvres pornographiques, les jeunes se laissent facilement à l’imitation. Or l’imitation a quelque de désagréable que celui qui imite, y ajoute toujours du sien. Ce qui représente un échelon à l’évolution de cette gangrène sociale.
Je ne pourrais terminer sans relater que : Les problèmes du système éducatif scolaire et universitaire font séparer beaucoup de jeunes adolescents de leur cercle familial. Ces derniers, dès qu’ils se retrouvent seuls, ne pouvant s’adapter à ce nouveau mode de vie, à cette nouvelle liberté, mènent alors une vie de débauche et battent la calabre. Nous ne restons pas sans savoir que la mauvaise compagnie est une des grandes causes déterminantes de ce vice lugubre. Il en est de même de certaines personnes, qui, par simple envie, désir, loisir, se permettent ce vilain défaut. C’est ainsi que certains enfants, bien même que leurs parents soient aisés ne se font pas exclu du lot. De même, certains pères autant que des mères de famille, qui, par simple volonté et par manque de responsabilité, se donnent le luxe d’avoir d’autres partenaires sexuels en dehors du foyer conjugal.
Ceux là, malgré tout ce qui se dit sur la sexualité, la bonne conduite sexuelle par les médias et autres centres d’éducation, s’exposent délibérément. Et le mal est que un de ses jours, ils prendront le ticket pour une chambre au Pk14. En effet, ces individus s’exposent au mal du siècle, à ce mal, qui ne connaît personne, qui ruine ronge et tue à petit feu. Ce mal terrible tel la peste il y a quelques décennies, ravageant et dévorant comme un feu en furie et n’ayant aucunement pitié. Ce mal qui est indomptable et indompté, n’est rien d’autre que, le SIDA. C’est le premier mal qui devrait nous mettre en garde. Qui devrait nous amener à prendre conscience. Mais Hélas…
Avec le VIH s’accompagnent les MST. C’est ainsi que les gens perdent leur sexe pour devenir à jamais stériles, suite aux maladies telles que la syphilis, la gonococcie et j’en passe. Ces maux sont capables de tuer obstinément patiemment et sans pitié. Nous devrons avoir donc une grande peur, une peur terrible.
Et si ce n'était que ceux là, cela aurait été favorable. Nous pourrons aussi citer le cancer de l'utérus chez la femme, celui de la prostate chez l'homme. Ces cancers sont impitoyables et garantissent toujours la mort surtout en Afrique par manque de moyens.
C'est ainsi que beaucoup de victimes emplois, femme, enfants et foyer. Tout individu qui se prostitue ou qui vagabonde devient la risée de la population. Ils sont incapables d'avoir un foyer stable. Ce qui entraîne un grand déséquilibre en ce qui concerne l'éducation des enfants. La progéniture par manque de bonne éducation se donne d'avantage au fléau et le cycle recommence. De là, la société devient malade. De part la société, l'Etat devient malade. Et cette gangrène s'étend à l'échelle mondiale pour devenir enfin un mal planétaire.
Ces différents maux miment nombres de gens qui se lancent dans cette fameuse périlleuse et catastrophante aventure. L'humanité est donc malade.
Comme nous le savons, le remède à tout vice est d'abord et avant tout la volonté qui est l'essence de toute vie et de toute chose. Ces quelques approches de solutions qui vont suivre ne peuvent être considérer comme une panacée. Je ne saurais rien donner comme solution sans parler de nos parents et de nos aînés. Ce n'est q'eux et par eux que tout peut se faire. Ils doivent essayer de comprendre les enfants et les jeunes en particulier, de devenir leurs amis de manière à connaître toutes leur fréquentations et pouvoir les guider le mieux possible. C'est à eux qu'incombe la lourde tâche. Ils doivent chercher à renforcer leur éducation sexuelle et à tout prix éviter les ultimatums et dans la mesure du possible éviter les embargos.
Quant à nous autres jeunes, nous devrons être sincères, éviter la fréquentation des œuvres pornographiques ou tout autre chose capable de vite éveiller notre vie et instinct sexuel. Nous devrons essayer le plus que possible de respecter les codes moraux de nos civilisations ou plus simplement ceux de nos religions ou juridiction. Dans le pire des cas se préserver ou tout moins s’abstenir tout en laissant le temps au temps et ne pas mettre la charrue avant les bœufs.
Mêmêgnon AWOHOUEDJI
02 B.P. 125 Parakou (R. Bénin)
E-Mail : memegnon@rediffmail.com
Cell : +22990912829
samedi 2 avril 2011
VERSET DU 3 AVRIL AU 10
Verset du 3 au 10 avril 2010
Dimanche 3 avril
Et l'Éternel dit à Samuel: Ne prends point garde à son apparence et à la hauteur de sa taille, car je l'ai rejeté. L'Éternel ne considère pas ce que l'homme considère; l'homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l'Éternel regarde au cœur.
1 Samuel 16, 7
Lundi 4 avril
Car je vais créer de nouveaux cieux Et une nouvelle terre; On ne se rappellera plus les choses passées, Elles ne reviendront plus à l'esprit.
Isaïe 65, 17
Mardi 5 avril
Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche.
Jean 5, 8
Mercredi 6 avril
Une femme oublie-t-elle l'enfant qu'elle allaite? N'a-t-elle pas pitié du fruit de ses entrailles? Quand elle l'oublierait, Moi je ne t'oublierai point.
Isaïe 49, 15
Jeudi 7 avril
Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu'il a écrit de moi.
Jean 5, 46
Vendredi 8 avril
Et Jésus, enseignant dans le temple, s'écria: Vous me connaissez, et vous savez d'où je suis! Je ne suis pas venu de moi-même: mais celui qui m'a envoyé est vrai, et vous ne le connaissez pas.
Jean 7, 28
Samedi 9 avril
Éternel, mon Dieu! Je cherche en toi mon refuge; Sauve-moi de tous mes persécuteurs, et délivre-moi,
Psaume 7, 2
Dimanche 10 avril
Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu.
Romains 8, 8
Dimanche 3 avril
Et l'Éternel dit à Samuel: Ne prends point garde à son apparence et à la hauteur de sa taille, car je l'ai rejeté. L'Éternel ne considère pas ce que l'homme considère; l'homme regarde à ce qui frappe les yeux, mais l'Éternel regarde au cœur.
1 Samuel 16, 7
Lundi 4 avril
Car je vais créer de nouveaux cieux Et une nouvelle terre; On ne se rappellera plus les choses passées, Elles ne reviendront plus à l'esprit.
Isaïe 65, 17
Mardi 5 avril
Lève-toi, lui dit Jésus, prends ton lit, et marche.
Jean 5, 8
Mercredi 6 avril
Une femme oublie-t-elle l'enfant qu'elle allaite? N'a-t-elle pas pitié du fruit de ses entrailles? Quand elle l'oublierait, Moi je ne t'oublierai point.
Isaïe 49, 15
Jeudi 7 avril
Car si vous croyiez Moïse, vous me croiriez aussi, parce qu'il a écrit de moi.
Jean 5, 46
Vendredi 8 avril
Et Jésus, enseignant dans le temple, s'écria: Vous me connaissez, et vous savez d'où je suis! Je ne suis pas venu de moi-même: mais celui qui m'a envoyé est vrai, et vous ne le connaissez pas.
Jean 7, 28
Samedi 9 avril
Éternel, mon Dieu! Je cherche en toi mon refuge; Sauve-moi de tous mes persécuteurs, et délivre-moi,
Psaume 7, 2
Dimanche 10 avril
Or ceux qui vivent selon la chair ne sauraient plaire à Dieu.
Romains 8, 8
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